Charlie le Mindu, sculptures capillaires

La base sous-marine de Bordeaux présente jusqu’au 22 mai une exposition originale consacrée aux sculptures capillaires de Charlie Le Mindu, l’inventeur de la « haute coiffure ».

Charlie Le Mindu est un enfant de Bordeaux. Né en 1986, il se passionna très vite pour l’univers de la coiffure dans le salon de coiffure que tenait sa grand-mère. Enfant, confie-t-il au Parisien, « j’étais totalement obsédé par les poupées Barbie. Je les trempais dans la piscine tout l’hiver et leurs cheveux devenaient verts en été. J’adorais les tondre, ça leur donnait un look de lesbienne. » Continuer la lecture de « Charlie le Mindu, sculptures capillaires »

L’École de Nancy et son temps

Le musée des beaux-arts de Nancy présente jusqu’au 25 janvier une exposition intitulée « l’École de Nancy face aux questions politiques et sociales de son temps ».

 La visite du musée des beaux-arts de Nancy, place Stanislas, vaut la peine. Le musée occupe un bâtiment du dix-huitième siècle, et a fait l’objet de deux extensions, en 1936 et 1999. L’aile consacrée à l’art contemporain est particulièrement intéressante et bien agencée. Continuer la lecture de « L’École de Nancy et son temps »

A Metz, le Centre Pompidou

Comme le Guggenheim de Bilbao, le Mucem de Marseille ou le musée des Confluences de Lyon, le Centre Pompidou de Metz confère à la ville une nouvelle image.

Metz est une belle ville traversée par de grandes avenues. Au centre-ville, la Cathédrale de style gothique impressionne par son élévation. Dans l’abside, le visiteur admire plusieurs vitraux de Chagall. En cette veille de Noël, une grande roue a été installée sur la place qui jouxte l’édifice et un marché de Noël diffuse un sentiment de gaieté. Continuer la lecture de « A Metz, le Centre Pompidou »

Les « itinerrances » de Ferrante Ferranti

La base sous-marine de Bordeaux présente jusqu’au 13 décembre une exposition du photographe Ferrante Ferranti intitulée « itinerrances ».

Né en 1960 en Algérie d’une mère sarde et d’un père sicilien, élevé à Perpignan, Ferrante Ferranti se dit heureux de ne pas avoir de racines dans un territoire déterminé et d’avoir ainsi eu la liberté de devenir un citoyen du monde. En réalité, sa biographie démontre l’affection particulière qu’il porte à la Sicile, ce poumon de la Méditerranée où plusieurs civilisations ont laissé le meilleur d’eux-mêmes. « Le Radeau de la Gorgone », écrit avec Dominique Fernandez en 1988, témoigne de cette affection. Continuer la lecture de « Les « itinerrances » de Ferrante Ferranti »