Chronique d’étonnement n°75

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je m’étonne que l’on continue à présenter la construction de nouvelles prisons comme une solution à la délinquance. Je partage l’effarement de beaucoup d’Européens face à l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis. Je découvre l’intérêt d’un petit garçon pour la mort. J’admire les personnes âgées qui décident de voyager malgré les maux que leur inflige la vieillesse. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°75 »

Léon Blum, une vie héroïque

Dans la série « face à l’histoire », France 5 a récemment diffusé « Léon Blum, une vie héroïque », documentaire en quatre épisodes de 45 minutes, réalisé par Florence Patarets.

La technique cinématographique est originale. Contrairement à l’habitude, les experts n’apparaissent pas à l’écran : leurs contributions sont dites en appui d’images d’archive. Parfois s’intercalent des dessins, qui fixent dans l’instant et dans la couleur des moments clé de la vie de l’homme d’état. Continuer la lecture de « Léon Blum, une vie héroïque »

Chronique d’étonnement n°71

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je m’étonne de la réticence d’un maître nageur sauveteur à descendre de sa chaise de surveillance ; je m’inquiète du retour possible des peines plancher dans le droit pénal ; je décris l’étrange sensation que me procure le regard d’un ou d’une kinésithérapeute ; je me demande en quoi terroriser les populations civiles en Palestine constitue une acte d’antiterrorisme. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°71 »

Tout va aller mieux

« Todo va a mejorar » (tout va aller mieux), roman d’Almudena Grandes, a été publié en octobre 2023, un an après sa mort des suites d’un cancer. On peut le considérer comme inachevé, le dernier chapitre ayant été ajouté par son mari, le poète Luís García Montero sur les indications de la romancière.

Après deux confinements, qui ont durement éprouvé les Espagnols, un homme d’affaires fortuné, Juan Francisco Martínez Sarmiento, surnommé le Grand Capitaine, décide de prendre le taureau par les cornes. Son ambition : « gérer l’Espagne avec les critères d’efficacité, de créativité et de rentabilité qui définissent la gestion des entreprises excellentes. » Continuer la lecture de « Tout va aller mieux »