Le musée des Augustins à Toulouse

La visite du musée des Augustins de Toulouse offre au visiteur un moment de paix et d’émerveillement.

 Le monastère des Augustins (bâtiments conventuels et église) a été construit aux quatorzième et quinzième siècles, à l’exception du joli cloître achevé en 1626. L’ancien réfectoire, détruit en 1868, a été remplacé à la fin du dix-neuvième siècle par un vaste bâtiment inspiré d’un projet de Viollet-le-Duc. Bien que composite, l’architecture donne une impression d’unité, en partie grâce à l’utilisation de la brique rose caractéristique de Toulouse. Continuer la lecture de « Le musée des Augustins à Toulouse »

La Sapienza

La Sapienza, film d’Eugène Green, raconte une belle histoire et rend hommage à l’architecture baroque italienne.

 Alexandre (Fabrizio Roncone) vient d’être couronné d’un prix d’architecture à Paris. Mais les bâtiments qu’il crée ne le satisfont plus. Il rêve de constructions plus cohérentes avec le bâti historique et mieux intégrées dans la nature. Pour se ressourcer, il part en Italie sur les traces de son maître, l’architecte baroque Francisco Borromini. Son épouse Aliénor (Christelle Prot Landman) décide de l’accompagner, dans l’espoir de renouer avec son mari un amour qui s’est mué avec le temps en terne affection. Continuer la lecture de « La Sapienza »

Le dernier Turner

La Tate Britain présente jusqu’au 25 janvier une exposition consacrée aux dernières années de Joseph Mallord William Turner : « Late Turner, painting set free » (le dernier Turner, la peinture libérée).

 En 1835, Turner eut soixante ans. Il continua à voyager quelques années et il peignit jusqu’à sa mort à l’âge de 76 ans. Sa peinture tardive aborde les thèmes qu’il a toujours explorés : la mer et les marins, la mythologie, l’Italie antique et moderne, Venise, les paysages flottant entre brume et lagune. Continuer la lecture de « Le dernier Turner »

2015

141227_Voeux

Sur une falaise du Cap Bon en Tunisie, deux motocyclettes, l’une jaune l’autre rouge, semblent se livrer à un dialogue amoureux. Il y est question d’ici et d’ailleurs : une île rêvée pour laquelle on brûle de désir ; la vie au jour le jour sur l’âpre terre que l’on aime.

 Sur une falaise du Cap Bon en Tunisie, deux motocyclettes amoureuses ressentent intensément le goût du présent et le vertige du futur.

 « Transhumances » souhaite à ses lecteurs une savoureuse et vertigineuse année 2015 !