Chroniques d’un chat

Dans “forse non sono dio”, traduit en français par Géraldine Platz et Suzanne Estran sous le titre « Et si je n’étais pas dieu ? Chroniques d’un chat » (Gander Books 2024), l’écrivaine et amoureuse des chats Stefania Gander donne la parole à un chat qui raconte sa vie quotidienne auprès des « bipèdes ». Les citations incluses dans cet article ont été traduites par l’auteur de « transhumances ».

Tout petit, raconte le chat, j’ai été enlevé de ma mère par des bipèdes aux intentions troubles : veulent-ils me manger ? Tirer de moi une rançon ? Peu à peu, pourtant, ces doutes s’estompent, l’affection prend la place de la crainte, les bipèdes deviennent « papa et maman ». Continuer la lecture de « Chroniques d’un chat »

Chronique d’étonnement n°90

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je me réjouis de la bonne surprise que constitue la signature, à l’arraché, d’un accord sur l’avenir de la Nouvelle Calédonie ; et j’ai fait la mauvaise expérience du vol de mon téléphone portable. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°90 »

Chronique d’étonnement n°89

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je trouve curieux l’usage du mot « éliminer » par le gouvernement israélien pour qualifier des assassinats ; je dis ma bonne surprise d’entendre le ministre de la Justice ouvrir des États généraux de l’insertion et de la probation ; je souligne la contemporanéité de la naissance d’une petite-fille et du décès d’une chère amie ; et je m’indigne des rafles d’étrangers sans papiers organisées par le ministre de l’intérieur. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°89 »

Chronique d’étonnement n°88

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je dis mon étonnement d’être considéré comme un mythe au sein de la structure que j’ai dirigée il y a un quart de siècle. Je ne sais si je dois m’étonner de la proposition du ministre de la Justice de rétablir les peines plancher et de supprimer le sursis du code pénal. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°88 »