Chronique d’étonnement n°68

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je m’étonne qu’on s’étonne des errances sexuelles de l’Abbé Pierre. La réponse d’une petite fille à une question sur le nom de son chaton m’amuse. Je remarque que « Les neiges du Kilimandjaro », chanson de Pascal Danel, récemment décédé, parle de la mort alors que ce thème est quasiment absent du répertoire français. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°68 »

Chronique d’étonnement n°66

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je m’étonne de la prégnance des faux-semblants dans le débat sur les nouvelles prisons. Et le rapprochement entre le chasseur de nazis Serge Karsfeld et le Rassemblement national me semble contre nature. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°66 »

Chronique d’étonnement n°64

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, j’ai été étonné d’apprendre que les nazis avaient organisé un atelier de fabrication de fausses livres sterling sur une vaste échelle. Je me suis demandé pourquoi une exposition permanente du musée de Bretagne à Rennes portait sur l’Affaire Dreyfus. J’ai été ému par un article du quotidien The Guardian sur un homme qui, bénévolement, accueille dans son minuscule logement des sans-abris. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°64 »

Chronique d’étonnement n°63

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je m’étonne de la vague d’émotion qui a suivi le décès de Bernard Pivot ; et je m’inquiète du discours théocratique de l’Église orthodoxe russe, dont le Patriarche considère « l’opération spéciale » en Ukraine comme une guerre sainte. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°63 »