En Périgord Noir

Passer un long weekend dans le Périgord noir permet au touriste de se laisser envelopper par une terre de douceur, d’harmonie et de passé immémorial.

À Périgueux, c’est la gentillesse des gens qui nous surprend. Sur la place du marché, une vendeuse de fruits et légumes nous offre de garder nos achats pendant que nous visitons la cathédrale. Nous lui amenons notre fromage, notre charcuterie ; elle nous accueille avec le sourire et nous offre un sac à provisions. Continuer la lecture de « En Périgord Noir »

À Montjean sur Loire, souvenir d’industrie

Le village de Montjean sur Loire, 3000 habitants, occupe un site paisible et idyllique au bord du fleuve, entre Angers et Nantes.

C’est un village où il fait bon flâner. Des sculptures embellissent la promenade. Un gîte remarquable, le Fief des Cordeliers, permet de passer un weekend en famille ou de célébrer des mariages. Rien ne semble plus éloigné de la culture industrielle que ce lieu paisible. Continuer la lecture de « À Montjean sur Loire, souvenir d’industrie »

En Alsace avant Noël

Flâner dans les ruelles de Colmar, Riquewihr, Kaysersberg ou Ribeauvillé quelques jours avant Noël est un enchantement.

En décembre, les villes d’Alsace respirent la fête. Les rues sont enguirlandées et illuminées, façades et fenêtres sont colonisées par des rennes, des sapins, les lampions, des Pères Noël escaladeurs. Des musiques traditionnelles sont diffusées par haut-parleurs. Les vitrines des boutiques sont décorées. Continuer la lecture de « En Alsace avant Noël »

Magellan par Stefan Zweig

La biographie de Magellan par Stefan Zweig retrace une épopée palpitante et présente un personnage exceptionnel.

Il y a quelques semaines, faisait escale à Bordeaux la réplique de la Nef Victoria, le seul des cinq vaisseaux de Magellan qui accomplit le tour du monde. L’émouvante visite de cette coque de noix héroïque m’a donné envie de lire une biographie de Magellan. Celle écrite par Stefan Zweig en 1938 s’est imposée comme une évidence. Continuer la lecture de « Magellan par Stefan Zweig »