Chronique d’étonnement n°78

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je m’étonne que tant de morts restent absents des registres officiels après le cyclone Chido qui a ravagé Mayotte. Je remarque que des fondamentalistes justifient par la Bible les massacres en cours à Gaza. Je suis admiratif de la stratégie déployée par un jeune détenu pour ne pas subir la prison. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°78 »

Chronique d’étonnement n°77

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je m’étonne de l’aveuglement des journalistes sur ce qui pouvait se passer en Syrie ; je relève le cynisme des autorités russes qui accueillent la famille Assad « pour des considérations humanitaires » ; je constate le développement spectaculaire de la bicyclette à l’Île de La Réunion ; et je partage l’effarement de la Contrôleure des lieux de privation de liberté confrontée à la situation de la prison de Majicavo, à Mayotte. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°77 »

Une architecture d’espoir

Une architecture d’espoir (An architecture of hope, Scribe, 2024), livre d’Yvonne Jewkes, est sous-titré : réimaginer la prison, restaurer une maison, me reconstruire (reimagining the prison, restoring a house, rebuilding myself). Il n’a pas encore été traduit en français.

C’est un passionnant récit entremêlé que nous propose l’autrice. Elle nous parle de son métier de criminologue et de son intérêt pour l’architecture carcérale ; de sa passion pour la propre maison à Cheltenham, dans les Cotswolds, construite en 1816 dans le style géorgien ; enfin, de sa rupture, juste avant le confinement, avec l’homme qui avait partagé sa vie pendant un quart de siècle. Continuer la lecture de « Une architecture d’espoir »

Écroué de rire

Dans le cadre des Journées Nationales Prison, l’humoriste David Desclos a joué le 22 novembre à Mérignac son spectacle « écroué de rire ».

Dans ce seul-en-scène d’une durée d’environ 1h30, il raconte son passé de braqueur de banques – la Société générale de préférence – , mais sans agression physique, par des tunnels creusés depuis l’extérieur. Continuer la lecture de « Écroué de rire »