Maria rêve

Dans « Maria rêve », Lauriane Escaffre et Yvo Muller mettent en scène l’itinéraire d’une femme renfermée vers la conscience de soi et la liberté.

 Maria (Karine Viard) mène une existence ordinaire : femme de ménage au service d’une vieille dame, elle vit une relation sans histoire avec son époux Oracio (Philippe Uchan), un maçon portugais. Lorsque sa patronne décède, elle trouve du travail à l’Institut des Beaux-Arts. Continuer la lecture de « Maria rêve »

Quai des Orfèvres

La chaîne C8 a récemment diffusé « Quai des Orfèvres », film d’Henri-Georges Clouzot, 1947.

Le couple formé par Marguerite, de son nom de scène Jenny Lamour (Suzy Delair), et Maurice (Bernard Blier) est en crise. Ils travaillent tous deux dans un music-hall. Il est un modeste pianiste. Elle ambitionne une grande carrière de chanteuse. Continuer la lecture de « Quai des Orfèvres »

Sociologie de la prison

« Sociologie de la prison », ouvrage de Philippe Combessie initialement paru en 2001, a été réédité quatre fois, la dernière en 2018. Il constitue une remarquable synthèse des connaissances sur la réalité de la prison.

 La bibliographie contient des références de livres de plus de deux cents auteurs. Combessie s’intéresse successivement aux fonctions de la prison ;  à la description des locaux d’enfermement et à leurs occupants, détenus, personnel et intervenants ponctuels ; aux politiques pénales et pénitentiaires ; à la prison comme société avec ses propres règles et sa propre culture ; et inversement, à la prison comme partie intégrante d’une société dont elle révèle les caractéristiques. Continuer la lecture de « Sociologie de la prison »

Chronique d’étonnement n°24

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

 Dans cet article de transhumances, je m’étonne du retentissement mondial des obsèques de la reine Elizabeth II. J’ignorais l’existence de bunkers abritant des œuvres d’art dans les ports francs d’aéroports internationaux. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°24 »