Qui sont les plus heureux au monde ?

Le centre de recherche sur le bien-être de l’Université d’Oxford (Wellbeing Resarch Centre) a publié son rapport 2024 sur le bonheur dans le monde (World Happiness Report).

 Ce rapport est édité chaque année. Il est fondé sur les résultats d’un sondage Gallup administré dans 143 pays les trois années précédentes (donc 2021, 2022 et 2023 pour le rapport 2024). Il cherche à mesurer le bien-être perçu subjectivement par les individus à partir de trois indicateurs : les évaluations de vie, les émotions positives et les émotions négatives. Continuer la lecture de « Qui sont les plus heureux au monde ? »

Surf, le feu sacré

France TV propose en replay « Surf, le feu sacré », documentaire de Benjamin Morel et Christophe Bouquet.

Le feu sacré, c’est dans la langue polynésienne de Tahiti, le « mana », l’énergie spirituelle qui anime l’océan et dont l’immense vague Teahupo’o, à Tahiti constitue la plus impressionnante manifestation. C’est à Tahiti qu’ont été organisées les épreuves olympiques de surf en juillet 2024. Continuer la lecture de « Surf, le feu sacré »

Quel avenir en France pour la justice restaurative ?

L’institut des Études et de la Recherche sur le Droit et la Justice (IERDJ) a publié en mai 2024 un rapport intitulé « Pratiques et effets de la justice restaurative en France ». Son dernier chapitre s’intitule « La justice restaurative à peine née « va mourir » ? Espoirs déchus, épuisement et incertitudes ». Le rapport exprime davantage de questions qu’il ne propose de réponses.

Dirigée par Delphine Griveaud et Sandrine Lefranc, cette recherche a été menée par une équipe de responsables de l’ARCA et de l’IFJR – organisations qui promeuvent la justice restaurative en France – ainsi que de l’École nationale d’administration pénitentiaire et de l’École nationale de protection judiciaire de la jeunesse qui mettent la justice restaurative au programme de leurs cursus. Continuer la lecture de « Quel avenir en France pour la justice restaurative ? »

Bisounours

Les visiteurs de personnes sous main de justice – en prison ou en milieu ouvert – se voient parfois qualifiés de « Bisounours ».

 Ce sobriquet souligne leur gentillesse. Comme les ours en peluche, ils sont sociables, affectueux, attentifs aux autres. On les décrit aussi comme altruistes et généreux. Mais ils souffrent d’un défaut rédhibitoire : l’ingénuité. Continuer la lecture de « Bisounours »