Chronique d’étonnement n°99

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je m’étonne de la constance du ministre de la Justice dans le durcir, interdire, sévir ; je ne m’étonnerais pas que Nicolas Sarkozy propose dans son futur « journal d’un prisonnier » une réorientation de la politique pénale en France ; je cueille au vol la confidence d’un passant sur sa réanimation cardiaque ; et je me réjouis du sourire échangé avec un agent d’accueil du métro parisien. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°99 »

Les rêveurs, le film

Pour son premier film en tant que réalisatrice, Isabelle Carré a adapté son roman autobiographique, « les rêveurs », paru en 2018.

Elisabeth (Isabelle Carré elle-même) anime un atelier d’écriture avec des adolescents dans le secteur psychiatrique de l’hôpital Necker. Elle confie aux jeunes qu’elle y a été internée lorsqu’elle avait 14 ans, à la suite d’une tentative de suicide. Continuer la lecture de « Les rêveurs, le film »

Toutes peines confondues

Les éditions iX ont publié en mars 2025 « Toutes peines confondues, de la disparition forcée à l’engagement citoyen, parcours d’une ex-détenue politique marocaine », livre de Fatna el Bouih, traduit de l’arabe (Maroc) par Souad Labbize.

Fatna el Bouih, âgée aujourd’hui de soixante-dix ans, est depuis son adolescente une militante. La cause qu’elle défend est celle des personnes détenues, en particulier des femmes. Elle est aussi le devoir de mémoire à l’égard des personnes victimes de la répression, au Maroc et dans le monde. Continuer la lecture de « Toutes peines confondues »

Chronique d’étonnement n°98

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je constate que le renoncement du premier ministre au recours à l’article 49-3 de la Constitution place le Parlement au centre de la vie publique ; je m’étonne que certaines forêts émettent davantage de CO2 qu’elles n’en stockent ; je me réjouis de la libération de Nicolas Sarkozy, qui démontre que d’autres peines existent au lieu de l’incarcération ; je m’étonne de la longévité du président camerounais Paul Biya, récemment réélu à l’âge de 92 ans. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°98 »