Les derniers jours du monde

Arte TV a récemment diffusé « les derniers jours du monde » d’Arnaud et Jean-Marie Larrieu (2009).

 « Contrairement à la tradition, « notre » fin du monde n’a pas une unique cause. C’est une série de catastrophes – tremblement de terre, attentats, virus, missiles – familières, si l’on peut dire, qui entrent en résonance les unes avec les autres et finissent par provoquer la catastrophe finale », disent les réalisateurs. Continuer la lecture de « Les derniers jours du monde »

La passion de la fraternité BEETHOVEN

Dans « la passion de la fraternité BEETHOVEN » (Stock Fayard, 2021), Erik Orsenna rend hommage au compositeur allemand, pour le deux-cent-cinquantième anniversaire de sa naissance.

 Ludwig van Beethoven naquit à Bonn le 16 décembre 1770 dans une famille d’origine flamande (son patronyme signifie « champ de betteraves » et le « van » n’est pas un attribut de noblesse), négociante en vin de son état et musicienne de père en fils. Bonn, dit Orsenna, était un endroit du monde qui considérait, avant Nietzsche, que « sans musique, la vie serait une erreur, une fatigue, un exil ». Continuer la lecture de « La passion de la fraternité BEETHOVEN »

Le baromètre de la fraternité

Le Labo de la Fraternité a publié récemment son « baromètre de la fraternité », qui permet à̀ la fois d’analyser l’image qu’ont les Français et Françaises de la diversité́ mais également l’état du lien social et de la Fraternité́ en France sur l’année 2021.

Le Labo de la Fraternité a pour but de promouvoir la Fraternité comme base du lien social, comme valeur Républicaine, comme unité entre toutes les diversités, comme l’une des finalités nécessaires de l’action politique et citoyenne. Continuer la lecture de « Le baromètre de la fraternité »

Le train des enfants

« Il treno dei bambini », roman de Viola Ardone (2019, « le train des enfants » dans la traduction française) est un roman poignant sur le destin et l’amour filial.

 Comme dans « l’amie prodigieuse » d’Elena Ferrante, il est question dans « le train des enfants » des quartiers populaires de Naples et de chaussures. « Ma maman devant et moi derrière, dit Amerigo Speranza, 7 ans, un jour de novembre 1946. Dans les ruelles des Quartiers espagnols ma maman marche vite : pour chacun de ses pas, un pas pour moi. Je regarde les chaussures des gens. » Les chaussures sont, pour ce petit enfant, ce qui distingue un riche d’un miséreux. Lui n’a jamais eu droit qu’à des chaussures usagées et trouées, faites aux pieds d’autres personnes, qui lui font mal. Continuer la lecture de « Le train des enfants »