Dead man walking

Arte TV a récemment diffusé « La dernière marche » (Dead man walking), film réalisé par Tim Robbins en 1995 avec Susan Sarandon et Sean Penn dans les rôles principaux.

« Dead man walking » (l’homme mort qui marche) est le nom que les surveillants de prison donnent aux détenus qu’ils emmènent dans la salle où ils seront exécutés. Matthew Poncelet (Sean Penn) a été condamné à mort pour un crime atroce qu’il a commis six ans plus tôt avec un complice. Il est détenu dans un pénitencier de Louisiane. Continuer la lecture de « Dead man walking »

Le refuge du dernier président

Arte TV propose en replay « Le refuge du dernier président » (Honecker und der Pastor), téléfilm de Jan Josef Lifers (2022). Il raconte les quelques semaines qu’Erich Honecker et son épouse Margot passèrent chez un pasteur protestant après leur éviction du pouvoir.

 En 1990, Uwe Homer (Hans-Uwe Bauer) est pasteur de Lobetal, un village tranquille au nord de Berlin, dans ce qui était encore la République Démocratique Allemande, l’Allemagne de l’Est. Beaucoup de ses paroissiens sont les pensionnaires de l’hôpital psychiatrique voisin. Il vit dans un vaste presbytère avec sa femme Sigrid (Stefi Kühnert) et deux de leurs six enfants, Traugott et Kornelius, de treize et seize ans environ. Continuer la lecture de « Le refuge du dernier président »

Vers un avenir radieux

Dans « vers un avenir radieux », Nanni Moretti propose au spectateur un hommage à la magie du cinéma, capable de les emmener, à sa guise, du désespoir à la joie partagée.

 Gianni (Nanni Moretti) est réalisateur de cinéma. Il tourne un film d’époque. En 1956, la cellule locale du Parti Communiste Italien reçoit un cirque venu d’un pays frère, la Hongrie. Son arrivée coïncide avec la révolution populaire à Budapest, suivie par l’intervention sanglante de l’armée soviétique. Continuer la lecture de « Vers un avenir radieux »

Reste un peu

« Reste un peu » est un film très personnel de Gad Elmaleh, dans lequel il évoque son rapport à la famille et la religion.

 Enfant d’une famille juive sépharade de Casablanca, Gad n’avait pas le doit de pénétrer dans une église. La profusion des représentations par des statues et des vitraux constituait une manifestation criante d’idolâtrie. Continuer la lecture de « Reste un peu »