Gaza mon amour

Arte TV propose en replay « Gaza mon amour », troisième film d’Arab et Tarzan Nasser après « Dégradé », dont « transhumances » avait publié une critique.

Issa (Salim Daw), 60 ans, est un homme solitaire et ombrageux qui sort chaque soir aux commandes de son minuscule chalutier pêcher la sardine, dans la limite de 5km fixée par les autorités israéliennes. Par esprit d’indépendance, il n’a jamais voulu se marier et avoir des enfants. Continuer la lecture de « Gaza mon amour »

Classe tous risques

Arte TV a récemment diffusé « Classe tous risques », film de Claude Sautet (1960) d’après le roman de José Giovanni, avec Lino Ventura et Jean-Paul Belmondo dans les rôles principaux.

 Abel Davos (Lino Ventura) a fait sa carrière dans le grand banditisme, n’hésitant pas à tuer si des obstacles se présentent devant lui. Acculé par la police à Milan, il tue deux carabiniers et tente de se réfugier en France avec sa femme, leurs deux petits garçons et un complice. Continuer la lecture de « Classe tous risques »

Pas pour les filles ?

« Pas pour les filles ? » (Robert Laffont, 2019) est l’autobiographie rédigée par Mélissa Plaza à l’âge de 31 ans.

Alors que beaucoup se prêtent à cet exercice lorsqu’ils atteignent un âge avancé, l’autrice a vécu en trois décennies une existence à fleur de peau : « je m’appelle Mélissa Plaza et, d’aussi loin que je m’en souvienne, je combats ». Continuer la lecture de « Pas pour les filles ? »

Chronique d’étonnement n°64

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, j’ai été étonné d’apprendre que les nazis avaient organisé un atelier de fabrication de fausses livres sterling sur une vaste échelle. Je me suis demandé pourquoi une exposition permanente du musée de Bretagne à Rennes portait sur l’Affaire Dreyfus. J’ai été ému par un article du quotidien The Guardian sur un homme qui, bénévolement, accueille dans son minuscule logement des sans-abris. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°64 »