Un beau matin

France 4 a récemment diffusé « un beau matin », film de Mia Hansen Løve (2022) qui met en scène une jeune femme confrontée en même temps au deuil d’un père rongé par une maladie dégénérative et l’irruption d’un amour nouveau et difficile.

Sandra Kinsler (Léa Seydoux) mène sa vie comme elle peut, entre son métier de traductrice anglais / allemand, son rôle de mère de Linn (Camille Lebans Martins), la petite fille qu’elle élève seule, et celui d’aidante auprès de son père Georg (Pascal Greggory). Continuer la lecture de « Un beau matin »

Toi qui m’aimais

Dans « Toi qui m’aimais », la réalisatrice Diane Kurys évoque le couple formé par Yves Montand et Simone Signoret dans les dix dernières années précédant la mort de cette dernière, en 1985.

Simone Signoret (incarnée par Marina Foïx), qui fut d’une exceptionnelle beauté, est devenue une femme âgée, abimée par l’alcool, ignorée par les réalisateurs, employant son temps libre à écrire ses mémoires. Continuer la lecture de « Toi qui m’aimais »

Chronique d’étonnement n°85

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je ne suis pas vraiment étonné par l’attitude du Rassemblement National après la condamnation de Marine Le Pen à la prison et à l’inéligibilité ; les cinquante ans d’écart qui me séparent, à quelques jours près, d’un jeune détenu me donnent à penser ; j’admire Cory Booker, qui a battu le record de durée d’un discours au Sénat américain dans un acte de résistance au trumpisme triomphant. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°85 »

Chronique d’étonnement n°84

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, j’admire la capacité des astronomes à contempler quinze milliards d’années d’histoire cosmique ; je suis heureux qu’un ami réalise son rêve d’enfant, devenir vieux ; et je remercie le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, pour ses tonitruants effets d’annonce qui alimentent, deux fois par mois, les chroniques d’étonnement. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°84 »