Dans nombre d’associations caritatives françaises s’exprime un sentiment de malaise lorsque les relations avec les services sociaux sont trop confiantes : n’y a-t-il pas un piège ? Ne risque-t-on pas de se substituer à l’Etat pour des missions qu’il devrait normalement remplir ? Il y a chez certains militants associatifs une crispation. Pour eux, le bénévolat doit se...